Page:Dandurand - Rancune, 1896.djvu/56

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 54 —

Adolphe, s’essuyant le front.

Ouf !… quelle besogne tout de même que d’être parrain !… Aussi quand on m’y repincera… (À Armand.) Entends-tu, toi, ne me demande jamais ça…

Armand, distrait, qui cause avec Irène.

Hein !… certainement.

Adolphe.

Ils ne m’écoutent plus ; il est évident que je cesse d’être indispensable. Allons, mes enfants, venez embrasser votre tante qui va être bien heureuse, et une autre fois vous croirez votre vieil ami quand il vous dira que : Tonnerre ! quand on s’aime on se marie.


FIN