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Page:Dante - La Divine Comédie, 1829, trad. Deschamps.djvu/95

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Chant deuxième.




*




Le jour baissait, la nuit venant avec mystère
Enlevait à leurs maux ceux qui sont sur la terre,
Et moi seul, à cette heure, entre tous les humains,
Je veillais, et j’allais par ces âpres chemins,
En préparant mon âme à la guerre cruelle
Qui bientôt, chez les morts, devait fondre sur elle.