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CHANT DIX-SEPTIÈME.


NOTES DU CHANT DIX-SEPTIÈME


2-17-1. Progné et sa sœur Philomèle, pour se venger de l’outrage qu’elles avaient reçu de Térée, mari de la première, mirent en pièces son fils Itis, et le lui firent manger. En punition de ce crime, elles furent transformées, Progné en hirondelle, et Philomèle en rossignol. Le poète suppose, avec quelques anciens, que ce fut Progné qui fut changée en rossignol.

2-17-2. Haute, c’est-à-dire élevée au-dessus des sens.

2-17-3. Aman, attaché à la croix qu’il avait préparée pour Mardochée.

2-17-4. Lavinie, fille d’Amata, qui, croyant que Turnus, à qui Lavinie était promise avait été tué par Énée, se pendit de désespoir.

2-17-5. Avant celle de Turnus, qu’Énée tua en effet plus tard.

2-17-6. Quand l’homme désire faire une chose, il la fait de soi-même, sans attendre qu’on le prie.

2-17-7. Bienheureux les pacifiques ! Paroles de Jésus-Christ dans le Sermon sur la montagne.

2-17-8. Le quatrième.

2-17-9. Dieu et la vertu.

2-17-10. Les biens inférieurs.

2-17-11. Ces trois sortes d’amours vicieux sont punies dans les cercles situés au-dessous de celui-ci, le cercle des Superbes, le cercle des Envieux et le cercle des Colères.

2-17-12. « Si l’amour se porte avec indolence vers le bien. »

2-17-13. Les biens temporels.

2-17-14. Les trois cercles supérieurs, où Dante rencontrera ceux qui ont péché par l’amour des richesses, des plaisirs de la table et des plaisirs charnels.