à l’Italie, à l’occasion de la rencontre que le Poëte fit de lui dans le Purgatoire, pourrait faire croire qu’il était Gibelin et particulièrement considéré dans son parti.
2-6-17. C’était le cri de tous les vrais Italiens à cette époque funeste. Ils sentaient que leur patrie périssait par ses divisions. Grazolli, contemporain de Dante, s’écriait comme lui :
Regno diviso mai non si difende.
Misera Italia ! tu l’hai ben esperto,
Che in te non è Latino
Che non struga il vicino,
Quando per forza e quando per mal’arte.
« Royaume divisé jamais n’a de défenses. Malheureuse Italie ! tu l’as bien éprouvé. En toi nul Latin qui ne détruise son voisin, tantôt par la force, tantôt par méchant artifice. »
2-6-18. Justinien répara le frein de l’Italie, en recueillant les lois romaines et les disposant selon un ordre méthodique, « Mais à quoi bon, » dit le Poëte, « s’il n’est personne pour les faire exécuter ? »
2-6-19. « A empêché César de monter dessus. » Selon d’autres, qui donnent un sens au mot predella, il faudrait traduire : « Depuis que tu as mis la main à la bride. »
2-6-20. Albert d’Autriche, fils de l’empereur Rodolphe, lequel refusa de venir en Italie.
2-6-21. Au delà des Alpes.
2-6-22. Familles gibelines de Vérone.
2-6-23. Autres nobles familles d’Orvieto.
2-6-24. Par les Guelfes.
2-6-25. Dans l’État de Sienne.
2-6-26. Ceci est dit ironiquement.
2-6-27. « Les regards de ta justice. »
2-6-28. On ignore quel était ce Marcel. Quelques-uns conjecturent qu’il s’agit de Marcellus, qui fut consul pendant la guerre entre César et Pompés.
2-6-29. Ironiquement.