doute, mais au moins ce n’était qu’un doute. Cette fois le doute n’est plus permis : le sommaire nous dit même la résidence de la nouvelle bien-airaée.
Boccace écrit, dans sa Vie de Dante .- « Nous trouvons qu’il a souvent soupiré, lorsqu’il demeurait a Lucques, pour une jeune fille, qu’il nomme Paryoleua… etc. » Boccace cite encore une certaine silpigiana, que Dante aurait aimée sur la fin de sa vie, et M. F1*O Arrivabene, après la Pargolella, éuumère : la Gentucca, la Monlanina, la Pietra, la Uolognese, toutes maltresses que ses rimes font connaître… N’y en a-t-il pas quelques autres d’inconnues ? On ne l’a pas dit ; ne le disons point… c’est déjà même un peu trop, pour l’amant entbousiaste de Béatrice, que toutes celles qui viennent d’être nommées.
Après cette liste, on admet sans peine le mot de M. F^’ Arrivabene : « Dante ne fut certainement pas ennemi du beau sexe… »
Sonnet vii (page 85).
On peut encore ranger ce sonnet avec ceux dont nous avons parlé tout à l’heure, et traitant des yeux et des regards de sa Dame — Une grande vigueur de louche distingue celui-ci, qui débute par quatre vers de la plus superbe exagération.
Sonnet vin (page 86).
Toujours le même sujet qui nous revient, et toujours avec des formes et des couleurs nouvelles. Les expressions