Venturi, dans son commentaire sur le soixante-septième Ters dn chant n de l’Enfer, cite une canzone de Dante, qui commence par :
Morte cantô.muovi novella mia Non far tardanza.
Dans le Parnasso italiano, compilé par dndrea Rubbi, on annonce comme un sonnet inédit de Dante, celui dont voici le premier vers :
Quando la notte abbraccia con fosch’ aie,
Dionisi, dans sa Série d’anecdotes, cite un sonnej de Dante tiré d’un vieux parchemin des archives publiques, et commençant ainsi :
Tu, che stanzi lo colle ombroso e fresco,
mais Dionisi ne fait pas attention que c’est le même que le sonnet XV du livre VI, dont le premier vers est, dans notre texte :
Tu, che stampilo colle ombroso e fresco. Nous pouvons désormais choisir entre les deux variantes :