m’a été dit plus tard, ils étaient là depuis quelque temps avant que je ne les eusse aperçus. Quand je les vis, je me levai et je leur dis en les saluant[1] : « Il y avait là quelqu’un avec moi, et c’est pour cela que j’étais tout à ma pensée. » Et, quand ils furent partis, je me remis à mon œuvre, c’est-à-dire à dessiner des figures d’anges. Et, tout en le faisant, il me vint à l’idée d’écrire quelques vers comme pour son anniversaire, et de les adresser à ceux qui étaient venus là près de moi.
Premier commencement. À mon esprit était venue[2] Second commencement. À mon esprit était venue[3] |