Page:Darby - Le Nouveau Testament 1859.djvu/564

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quité. 10Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous le faisons menteur et sa parole n’est pas en nous.

II. — Mes petits enfants, je vous écris ces choses afin que vous ne péchiez pas ; et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du père, Jésus Christ, le juste ; 2et lui est la propitiation pour nos péchés, et non pas seulement pour les nôtres, mais aussi pour le monde entier. 3Et par ceci nous savons que nous le connaissons, [savoir] si nous gardons ses commandements. 4Celui qui dit : Je le connais, et qui ne garde pas ses commandements, est menteur, et la vérité n’est pas en lui. 5Mais quiconque garde sa parole, — en lui l’amour de Dieu est véritablement consommé : par cela nous savons que nous sommes en lui. 6Celui qui dit qu’il demeure en lui, doit lui-même aussi marcher comme lui a marché. 7Bien-aimés, je ne vous écris pas un commandement nouveau, mais un commandement ancien que vous avez eu dès le commencement. Le commandement ancien est la parole que vous avez entendue dès le commencement. 8Encore une fois je vous écris un commandement nouveau, ce qui est vrai en lui et en vous, parce que les ténèbres s’en vont et que la vraie lumière luit maintenant. 9Celui qui dit qu’il est dans la lumière et qui hait son frère, est dans les ténèbres jusqu’à maintenant. 10Celui qui aime son frère, demeure dans la lumière, et il n’y a point en lui d’occasion de chute. 11Celui qui hait son frère est dans les ténèbres, et il marche dans les ténèbres, et il ne sait où il va, parce que les ténèbres lui ont aveuglé les yeux. 12Je vous écris, petits enfants, parce que vos péchés vous sont pardonnés par son nom.

13Pères, je vous écris parce que vous connaissez celui qui est dès le commencement.

Jeunes gens, je vous écris parce que vous avez vaincu le méchant.