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Page:Darby - Les types du Lévitique.djvu/48

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ne change en rien sa manière d’agir, parce que, tout ce qu’il faisait, il le faisait en vue de Dieu seul. Dans toutes les circonstances possibles ses voies étaient toujours parfaites, soit dans ses rapports avec la multitude, soit avec ses disciples, soit devant ses juges iniques ; car il agissait toujours en vue de Dieu seul. L’encens de ses services, de son cœur, de ses affections montait toujours vers Dieu. Quel encens abondant et d’agréable odeur que la vie de Jésus. L’éternel flaira une bonne odeur, et la bénédiction prit la place de la malédiction envers nous. Cet encens donc était ajouté au gâteau, parce qu’en effet c’était en Jésus un fruit, une expression de sa nature : dans tous les cas, cet encens montait toujours : il en était de même de son intercession, car elle était un fruit de son saint amour. Les prières de Jésus, expression d’une sainte dépendance, prières infiniment agréables à Dieu et puissantes auprès de Dieu, étaient devant lui comme une bonne odeur, un encens : « la maison fut remplie de l’odeur de l’huile odoriférante. »

Il y avait encore une chose qui était défendue, aussi bien que le levain, dans les sacrifices : c’était le miel, qui représentait ce qui est surtout agréable au goût de l’homme naturel, comme l’affection de ceux que nous aimons selon la chair, les rapports agréables avec nos semblables, et autres choses pareilles. — Non que ces choses fussent mau-