Simon, jugeant qu’il n’est jamais trop tard pour dire une bonne chose, s’écrie :
« Le collège préparera la caserne, c’est parfait. Que la caserne, à son tour, rappelle un peu et continue le collège. »
Dans l’Éclair du 9 janvier, M. Camille Doucet, de l’Académie française, dans sa passion pour la considération, reproche à M. Descaves les moyens qu’il y a employés pour s’assurer un succès de mauvais aloi :
« Je n’ai pas lu Sous-Offs. Mais l’auteur a choisi un excellent moyen de forcer l’indifférence et de s’imposer à l’attention publique. »
Dans la République Française du 9 janvier, M. Albert Delpit, un de nos illustres romanciers, donne l’appréciation suivante :
« Le roman de M. Descaves n’est qu’une lanterne magique, où passent et repassent des bonshommes grotesques et répugnants. Ce sont des caricatures… Je comprends qu’on aille de temps