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XIII. — LA FIN D’UNE RACE
On me dit :
— C’est vrai, mais le vieux est Afzal Khan.
Le nom ne me disait rien.
— Afzal Khan, de Jamalgarhi.
— Eh bien ?
— Afzal Khan, le descendant de Khouchal Khan, celui qui possède le manuscrit du Tarikhi Mourassa et du Divan de Khouchal.
— Que ne le disiez-vous donc !
Le pauvre vieux devenait intéressant, et je me rappelai que tous les doums[1] à qui je disais : « Chantez-moi une chanson, » me demandaient tout d’abord : « Le Sâb[2] veut-il une chanson de Khouchal Khan, prince des Khataks ? »
I
Quand je levai mon étendard dans le champ de la poésie afghane, je subjuguai l’empire des mots au galop de mon cheval de guerre.