tout un côté ou sur les deux à la fois. Si les vers avaient traîné les triangles à l’ouverture de leurs galeries en les tenant par la base, aussi souvent que par le sommet, et qu’ils eussent alors remarqué, sans positivement essayer de les introduire dans la galerie, que l’extrémité la plus salie n’était pas bien adaptée à ce but, même dans ce cas une grande proportion des triangles aurait eu l’extrémité basilaire salie. Nous pouvons donc conclure, quelqu’improbable que paraisse cette supposition, que les vers sont par un moyen quelconque capables de juger par quelle extrémité il vaut mieux introduire des triangles de papier dans leurs galeries.
Les résultats réduits en centièmes des précédentes observations sur la manière dont les vers introduisent différentes sortes d’objets dans l’ouverture de leurs galeries peuvent se résumer comme il suit :
NATURE DE L’OBJET | Indroduit dans la galerie par… | ||
---|---|---|---|
le sommet ou près de ce point. |
le milieu ou près de ce point |
la base ou par un point rapproché. | |
Feuilles de diverses espèces |
80 | 11 | 9 |
Feuilles de tilleul, bord basilaire du limbe large, sommet acuminé |
79 | 17 | 4 |
Feuilles d’un laburnum, partie basilaire du limbe aussi étroite ou quelquefois plus étroite que la partie du sommet |
63 | 10 | 27 |