Page:Daudet - Aventures prodigieuses de Tartarin de Tarascon, 1872.djvu/200

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pauvre monsieur Tartarin, et je la mènerai jusqu’au jour où, brûlée par le soleil, pourrie par les nuits humides, je tomberai — ne pouvant plus faire autrement — sur un coin de méchante route, où les Arabes feront bouillir leur couscous avec les débris de ma vieille carcasse…

… « Blidah ! Blidah ! » fit le conducteur en ouvrant la portière.