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Page:Daudet - Fromont jeune et Risler aîné, 1874.djvu/282

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la maman Delobelle, qu’on n’avait pas pu empêcher de regarder partir sa petite, se tenait debout derrière les persiennes fermées.

– Adieu… adieu… disait la mère tout bas, presque à elle-même, en agitant la main avec un geste inconscient de vieillard ou de folle.

Si doucement que cet adieu fût dit, Désirée Delobelle dut l’entendre.