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IX
Tous les jours, entre quatre et six, plus tôt ou plus tard selon la saison, Paul Astier venait prendre sa douche à « l’hydrothérapie Keyser » en haut du faubourg Saint-Honoré. Vingt minutes de fleuret, de boxe ou de bâton, puis le jet froid, le bain de piscine, la petite station, en sortant, chez