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On nous dit que le gouvernement de Tunis s’est ému, lors de la publication du Nabab en feuilleton, de voir produire des personnages auxquels l’auteur a prêté des noms et des costumes du pays. Nous sommes autorisé par M. Alphonse Daudet à déclarer que les scènes du livre où il est question de Tunis sont tout à fait imaginaires, et qu’il n’a jamais eu l’intention de désigner aucun fonctionnaire de cet État.
N. de l’ÉD.