Page:Daudet - Les Amoureuses, Charpentier, 1908.djvu/53

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III



Maintenant, dire où j’ai connu
Ces merveilles de miniature,
          Clic ! clac !
Le premier chroniqueur venu
Vous en contera l’aventure.
          Clic ! clac !

Je vous avouerai cependant
Que souventes fois il m’arrive,
          Clic ! clac !
De verser, en les regardant,
Une grosse larme furtive.
          Clic ! clac !