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LETTRES DE MON MOULIN.
la tempête faisait rage ; la flamme du bivac se courbait sous la rafale ; et j’entendais notre barque danser au pied des roches en faisant crier son amarre.
la tempête faisait rage ; la flamme du bivac se courbait sous la rafale ; et j’entendais notre barque danser au pied des roches en faisant crier son amarre.