Page:Daudet - Port-Tarascon, 1890.djvu/208

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À ce passage de son journal, que nous ne faisons que résumer, il y a ici une trace de larmes et ces mots tout délavés :

« Pauvre de moi et pauvre d’elle ! »

Et c’est au lendemain du baptême de Likiriki qu’eut lieu l’épouvantable catastrophe… Mais les faits deviennent trop graves : laissons la parole au Mémorial.