sur tes pointes… tu ne m’effraies pas… d’abord tu as l’air d’une fillette déguisée.
Comment ! comment !
Ensuite, serais-tu méchant et fort comme un Turc, je n’ai qu’à tirer ceci, et tu as à l’instant tous les paysans sur les bras. (Elle prend la corde.)
C’est bon, c’est bon, puisque vous n’avez pas peur, il est inutile d’appeler du monde.
Sais-tu que tu fais un vilain métier ?
Moi, un métier, pour qui me prenez-vous ?
Pour qui veux-tu que je te prenne ? Est-ce que je te connais, moi ? Qui es-tu ? D’où viens-tu ? Par où ? Pourquoi ?
Tayaut… tayaut… Voilà tous les points d’interrogation lâchés… (Haut.) Vous le voulez, je vais tout vous dire, mais…
Mais…
Laissez en paix cette cloche, vous ne sauriez croire à quel point cela me taquine.