La belle Normandie Charlot, qu’en fais-tu ? Et M. le curé d’Offranville ?
Je les aime, allez, Madame. Seulement, il n’y a pas de neige, là-bas, à Offranville, pas de raquettes, pas de traînes sauvages !… J’aime toutes ces choses !… Il n’y a pas non plus,
Le premier hiver canadien accomplit déjà son miracle auprès de Charlot. C’est plus difficile, quant à nous ! Quel froid !
On s’y fait, Madame. Ce climat rigoureux est sain.
Voilà Julien avec une longue traîne sauvage, comme les aime Charlot.
Ma mère, il est temps, je crois de faire nos adieux et de remercier Madame Hubou qui nous a reçues avec tant de grâce et d’émotion… Le Canada renferme de belles âmes ! Et la première Canadienne ne pouvait manquer d’être richement douée !
Madame Hubou, pourquoi l’on vous appelle toujours la première Canadienne ?