avouerez que le déplaisir que je vous ai témoigné n’était pas sans motifs et sans excuse. Oui, ma fille est à présent digne d’être reconnue par sa famille, quant à mon gendre que voilà, il appartient à une autre maison.
Qui aurait pu s’imaginer que Lieou-youan-waï aurait encore un fils ?
Nous n’avons plus maintenant à craindre d’être enterrés dans le triste endroit que je vous ai montré. Notre famille a aujourd’hui un représentant, et nos chagrins ont rencontré un remède.
Mon père, quoique vous ayiez trouvé un fils, ne perdez pas le souvenir de votre fille.
Ma fille, puis-je recevoir un bienfait sans concevoir l’intention de m’en acquitter ?
Maintenant que vous avez un fils, reprenez toutes vos clefs, mon oncle. Je n’ai été riche qu’un jour !