des Dialogues, ii.iz
de Dieu. II n’y a que luy
ſeul qui ſoit pleincment
contcnt de íoymeſme,
18
des Difcours de cet Ouurage,
de leur Authcuſj
&c la grande approbacion
qu’ilsonteuë, deçà
&dclà les Monts, 5. & ia
sttiutntes.
Andrc Doric auoit inteiligcnce
auec Barberousse ,
quoy qu’il fuſt
bon ſcruiteur de l’Empercur
Charlcs> Quint,
Ï2j - 116 ■
E
EQuiuoques plaiſans,
d’vn Homme dclongue
robbc, qui auoit
peu de connoisl’ancedcs
bonnes I.ettres, 57
du Duc d’Efpernon, 3.4
l’Efprit prend vn mcruciljeux
plaiſir dans le paiſonnemcnt,
, S8
Ce qui luy paroist ami
êc fauorablc dans la
penſéc , ſe reuolte & :
deuicnt contraire dans
l’opcration, 89. 90
Euenemens. Les plus
grands ne ſont pas touſiours
produits par des
grandcs cauſcs , 71. &
ſniuantes.
- . ’ «V
f ^ - • ? f . FAueur cst vneFille, qui tuë bien fouuent ſa propre Merc, zoj des Fauoris , Sc leur dcſcription , 178. ’cr ſuiuantes. Commcnt, &c par quels moycns ils s’introduiſcnt &c s’elcucnt à la Courj & comment peu à peu ils s’ernparent de rÊſptitd’vn Prince, 181. dr Jùtunntcs. De quelles rufes &c de quels artifices ils ſe ſcruent pour s’asluiettir tout à fait le Prince, a- íìn de regner cux-meſmcs