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Page:De Balzac - Socrate chrestien, 1652.djvu/257

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Chrestien


n’est pas un vice de nostre Siecle. J’ay remarqué le mesme déreglement dans le Chœur d’une ancienne Tragedie, où un Devot invoquant Hercule, receu depuis peu au nombre des dieux, O Hercule, luy dit-il, à cette heure que tu habites le Ciel, tu lanceras la Foudre avec plus de force que Jupiter. Ainsi le Devot se laisse emporter à la violence de son zele, et offense le Pere pour loüer le fils.


Ie voy que vous avez pris garde au coup d’ongle que j’ay donné sur les Gaulois de la Deesse Cybele. Il est vray qu’en