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Page:De Balzac - Socrate chrestien, 1652.djvu/338

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l crie, il gronde agreablement. Ses plaintes et ses coleres sont belles. En blasmant le vice, il plaist aux pecheurs. Il n' est pas moins citoyen du ciel, ni moins compagnon des anges que le premier. Mais il s' accommode mieux à l' usage du bas monde, et s' apprivoise davantage avecque les hommes. Les grecs l' ont appellé Chrysostome, et les barbares l' appellent comme les grecs. Voulez-vous que nous disions encore quelque chose de cét homme ? Expliquons pour le moins ce que nous venons d' en dire. Ayant acquis les plus rares connoissances, par la force de la