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Page:De Balzac - Socrate chrestien, 1652.djvu/355

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soit. Je ne sçaurois m' imaginer que le secours de ces veritables amis nous manque au besoin : je ne puis croire que leur protection finisse, que leurs prieres cessent, à cette heure qu' elles peuvent agir plus fortement, et estre plus puissantes et plus efficaces. Ils sont unis à Dieu, mais ils ne sont pas pour cela separez des hommes : et Dieu qui a pardonné à tout un peuple, à la recommandation de Moïse, de Moïse mortel et subjet aux infirmitez humaines, fera bien quelque chose, à mon advis, pour un autre Moïse, beaucoup meilleur et beaucoup plus parfait que le premier ; pour une