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Page:De Balzac - Socrate chrestien, 1652.djvu/358

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nostre zele, et de lasser nostre devotion ? Seroit-ce pour neant, qu' on auroit crié si souvent, et il y a si long-temps, dans la metropolitaine de l' univers, sur le throsne des apostres, dans la chaire de Sainct Pierre, (...). Mon bon gentilhomme, poursuivit Socrate, en finissant ce discours, rendez-vous à ce latin : il ne vous doit pas estre suspect : il est des premiers siecles de l' eglise ; il est de Rome veritablement orthodoxe ; de