Page:De Balzac - Socrate chrestien, 1652.djvu/369

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faits, comme c' en avoit esté l' occasion. Socrate receût avec joye cette rare piece. Mais il ne voulut pas se laisser vaincre de liberalité. Pour un tableau il en rendit deux, l' un et l' autre tiré du mesme subjet que celuy qu' il emporta. Ces deux peintures parlantes sont de la main de deux ouvriers, dont la France connoist le nom, et ne mesprise pas les ouvrages : elles s' adressent à Jesus Christ né : et peuvent estre jointes aux douze conversations, soit pour la ressemblance de la maniere, puisque Socrate ne parloit jamais sans quelque sorte d' inspiration, soit