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Page:De Banville - Les Stalactites.djvu/182

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Mais croissez, pervenches et thym !
Comme ces lueurs du matin
Qu’enveloppent en vain des voiles,
Ô symboles de mes amours !
C’est vous seuls qui vivrez toujours,
Printemps, lauriers, chansons, étoiles !


Mai 1855.