Page:De Banville - Les Stalactites.djvu/212

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Ô saphir ! azur sans voiles !
Ô calme délicieux !
La mer est comme les cieux
Resplendissante d’étoiles.

Mais de ta bouche fleurie,
Pour calmer ce mal cuisant
Tu me baises en disant
Que ma blessure est guérie.


Février 1861.