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Mourir de la poitrine
Quand j’ai ces bras de lys,
La lèvre purpurine,
Les cheveux de maïs
Et cette gorge rose,
Ah ! la vilaine chose !
Quel poëte morose
Est donc ce Dumas fils !
Mourir de la poitrine
Quand j’ai ces bras de lys,
La lèvre purpurine,
Les cheveux de maïs
Et cette gorge rose,
Ah ! la vilaine chose !
Quel poëte morose
Est donc ce Dumas fils !