Page:De Banville - Odes Funambulesques.djvu/300

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                 ENVOI

Ma muse, ami, garde le pavillon.
S’il est de pourpre, elle aime son haillon,
Et me répète à travers son ivresse,
En secouant son léger carillon :
Vide ton verre et baise ta maîtresse.


Décembre 1856.