Sergent qui, aux dernières heures de sa vie, avait courageusement expié ses turbulentes étourderies de pécheresse. ― Gustave Bourdin, le gendre de Vilmessant, mort aujourd’hui, avait consacré à Pomaré tout un petit livre, qui parut orné d’un excellent portrait et qui est devenu rarissime.
Page 86, vers 142. ― A ce vers correspond, dans la première et
dans la seconde édition des Odes funambulesques, une note dont
voici le texte :
« Évohé n’a pas écrit la terrible satire qu’elle annonçait ici : c’était déjà trop de la rêver. Elle n’a pas tenu cette promesse-là, ni aucune de ses promesses ; c’est ce qui fait sa force. La pauvrette n’a jamais touché que par jeu à la lyre d’airain. Où aurait-elle trouvé assez de fureur et assez de haine pour mener à bout sans faiblir la farouche Parodie humaine ? »
A plus forte raison, l’auteur n’a tenu aucun des engagements qu’il avait pris dans la dernière de ses satires intitulée Une vieille Lune, page 87. ― Une plaisanterie ne peut survivre à la circonstance qui lui a servi de prétexte, et cette dernière