Pour remplir le plan que nous nous étions tracé, pour faire un Manuel vétérinaire à la fois complet, succinct, clair, nous avons embrassé toutes les branches des connaissances humaines ayant rapport à notre sujet :
L’Hygiène, qui prévient le plus souvent le mal ;
La Médecine, qui en prescrit les remèdes ;
La Pharmacie, qui les prépare ;
Et la Chirurgie, qui opère toutes les fois que le besoin s’en fait sentir.
Quant à l’honorable éditeur qui a bien voulu se charger de publier ce Dictionnaire de l’Art Vétérinaire, il a compris, en associant ses précieux efforts aux nôtres, qu’il y avait là une œuvre éminemment nationale et populaire, digne d’être propagée dans un intérêt d’utilité générale ; aussi n’a-t-il reculé devant aucun soin et aucun sacrifice, et nous aimons à lui rendre ici un public hommage de notre profonde gratitude.