Page:De Chazet - L'art de causer, épitre d'un père à son fils, 1812.djvu/16

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

(6) Il faut avoir eu le bonheur de causer quelquefois avec cet homme extraordinaire, pour se faire une idée de son amabilité ; il est, en conversation comme en poésie, un véritable Protée ; aucune science ne lui est étrangère, aucun sujet ne l’embarrasse : anecdotes, beaux-arts, littérature, morale, il parle de tout avec une légèreté, une grâce et une politesse qui lui font autant d’amis qu’il a d’admirateurs.