Page:De Martigny - Mémoires d'un reporter, c1925.djvu/55

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qui dut sembler la plus douce musique à l’Indien :

— Good morning…[1]

Tahourentché mit la main sur son cœur et demeura dans une immobilité de statue, jusqu’à ce que la belle Anglaise eût disparu au tournant du sentier.

Le lendemain elle le retrouva sur sa route. L’Algonquin avait appris un autre mot d’anglais :

— Good morning, Miss.[2]

— Good morning, dear,[3] lui répondit l’Anglaise de sa belle voix modulée.

  1. Bonjour.
  2. Bonjour, mademoiselle.
  3. Bonjour, cher.