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Page:De Merejkowsky - Le Roman de Léonard de Vinci, 1907.djvu/344

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regarder le duc Sforza et madonna Lucrezia, et que leurs joues bouffies étaient sur le point d’éclater de rire contenu.

De loin parvenaient les sons très doux de la mandoline et le chant de la comtesse Cecilia :


Ivi fra lor, che ’l terzo cerchio serra.
La rividi più bella, e meno altera.


Et les petits dieux antiques, entendant les vers de Pétrarque, riaient comme des fous.