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Page:De Merejkowsky - Le Roman de Léonard de Vinci, 1907.djvu/475

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Pas un mot de plus, comme si la ruine de l’homme avec lequel il avait vécu seize ans, la déchéance de l’illustre maison des Sforza étaient pour lui moins importantes et curieuses que le vol d’un oiseau de proie.