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Page:De N⋆⋆⋆⋆ - La Chouette, 1839.djvu/20

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IV.

LE RÉVEILLON. C’EST LA SORCIÈRE.
LE BON CURÉ.

Lectrice, commençons mon récit sans prologue,
Quand le sujet abonde à quoi bon l’épilogue ?
L’autre chant je reçus un petit camouflet
Peut-être à celui-ci recevrais-je un soufflet ;
De votre belle main, ce serait sans me plaindre
Que je l’endurerais, même il serait à craindre
Que j’en voulusse encor recevoir. Par malheur,
Je suis très-entêté, paresseux, raisonneur ;
Et jugez d’un seul trait de quoi je suis capable,
Jamais je ne consens à m’avouer coupable.
J’avoue un tort, pourtant, qui me rend malheureux,
C’est d’être trop sensible au charme de vos yeux.