Page:De Pitray - Voyages abracadabrants du gros Philéas, 1890.djvu/248

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Apporte-moi mon miroir, mon garçon, plus un peigne, plus une brosse ; j’ai besoin de donner à mes jeunes cheveux les ondulations gracieuses qu’avaient les anciens.

Polyphème riait sous cape, tout en aidant le petit nègre à munir son maître de ce qu’il voulait avoir.