Page:De Pitray - Voyages abracadabrants du gros Philéas, 1890.djvu/71

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et s’y assit, déclarant qu’il ne bougerait pas de là tant que sa blessure ne serait pas cicatrisée. Il adoucit du reste son triste sort en se faisant servir abondamment à manger et ses amis se consolèrent ainsi avec lui de leurs aventures dramatiques.

Quelques jours après, Philéas repartait pour Paris, rejoindre « le Tueur de colibris féroces » pour commencer avec lui ses longs et terribles voyages.