Page:De Prony - Nouvelle architecture hydraulique, Première partie, 1790.djvu/231

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SECTION II. DE LA DYNAMIQUE. 1\*J

XyZy et f*f>dzj égaux à zéro, et ainsi les valeurs de u et v de- viennent

-, -+-/»» + (/+ *)t |* ( h \ (m — a, u , -f- (/ 4- ,) t .

" m -f- ft. m + t* K n * / »

ei ^ — ^TT7 H 7T^7 (.«—x ; — ^TT? •

On peut aisément déduire de ces valeurs de u et v , en sup-

r 11 1 des foire* Jnnj

posant/ -f- <p = o, celles de mu. 1 -+- et on trouvera, en i° c»»c effectuant le calcul, -+- = m&* -+- /t*** i c'est ce qu'on quT,' appelle /a conservation des forces vives.

462. Si les corps n'étoient pas parfaitement élastiques, alors Application

• 1 'il* A « 1, 1 , j * . * 1 aux corpl im-

11s ne se rétabliraient pas entierement'dans leur premier état, P a.i.,;t.- In ent et à la fin du choc il resteroit encore une impression ; ainsi pour 4Uu "i u "' trouver la vitesse finale de ces sortes de corps, il faudroit substi- tuer pour t, x, z, a et p, les valeurs convenables; x, z, a et p, peuvent se déterminer par l'expérience et le calcul, ainsi qu'on le verra ; mais la valeur de t paroîtra plus difficile à apprécier. Cette valeur n'est cependant point incalculable, comme on le verra bientôt ; mais j observerai d'avance que , toutes les fois que y et <p ne seront pas extrêmement grands, ou ne seront que des modifications de la pesanteur, la valeur de t étant prodi- gieusement petite, la quantité (/-f- <p)t pourra être négligée sans erreur sensible. Cette quantité n'entre dans les formules précédentes que pour leur donner toute l'étendue et la rigueur possible , et ne négliger aucune des circonstances physiques du mouvement.

463. En négligeant t dans l'expression de la vitesse h ™«» r *•

finale des corps, on a , pour les corps sans élasticité, u = , Gb

qui est la valeur trouvée art. (39), et, pour les corps parfaitement

élastiques, u = ^g^^, et v = ^; > ;;" 1 . Ce sont les

valeurs des vitesses finales que donnent les traités élémentaires de mécanique , pareequ'on y fait abstraction de la durée du choc , et de l'eflet produit , pendant ce temps , par les forces accélératrices qui animent les corps.

464. Si , dans l'équation

i m,fx [(u — v)*— (k — x) 3 ] = (A*/— m<p) (x -t- z) — (m -+• f*)f*ïdz, S-

Valeur , pour 11 11 ins- tant «juclcon- du choc , impression

trouvée précédemment (459), on suppose la dureté p constante, ?e'cm^ l cul- et qu'on en tire la valeur defrdz, on aura SÏt'ûSSSÏ

adz = Hm+,»'

Tome I. E e