Cm parricii où celte résul- tante est uni
276 ARCHITECTURE HYDRAULIQUE.
à une distance de ce plan = ^7// , et la résultante des poussées
verticales à une distance = ^37,
565. Lorsque ces deux distances seront égales et de même signe , il sera toujours possible de trouver une puissance qui soit, sous tous les aspects, la résultante unique des pressions exercées par le fluide sur la surlace profilée en BC. Dans le cas contraire, il y aura deux résultantes, auxquelles on ne pourra substituer une seule puissance que relativement au mouvement de translation parallèle au plan ABCD , et de rotation autour d'un axe horizontal perpendiculaire à ce plan. L'intelligence de ceci n'a aucune difficulté pour ceux qui ont vu la théorie détaillée de l'équilibre , que nous avons donnée dans la pre- mière section de ce traité. r M 566. Il est évident que si les éléments horizontaux , profilés en R/-, peuvent être tous divisés en deux parties égales par un seul plan vertical , on pourra toujours trouver une résultante unique de toutes les pressions de la surface profilée en DRC : car, en rapportant à ce plan les distances ffi^f-f et f }[:'^ , elles seront égales à zéro, et la résultante sera dans ce plan même. 567. Le plan PBDC ( fig. i36, n° 1) est une partie de la sec- <•<• A ii' r,! tConê llon ou cou P e verticale d'un vase contenant un fluide en équi- T '* p.T 1,on libre ; DC est le profil d'un des côtés de ce vase , dont la suffàce
0asseroit par la ligne AQX (n° 2), se trouve un des points de a direction de la résultante des pressions qui s'exercent contre la surface qui a AMX pour base et PQ pour hauteur, considérées quant à l'effet qu'elles peuvent produire parallèlement au plan ARMX, et d'assigner en outre la direction et la valeur de cette résultante.
Plaçons l'origine des co- ordonnées au point de la surface supérieure du fluide , qui répond verticalement au point X i
