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344 ARCHITECTURE HYDRAULIQUE.

lorsque t = o , on ait x = k; il en résultera A = ~L Aï j d'où

Cette valeur est précisément la même que celle du temps îe le vase BL cmploieroit à se vuider par un orifice », si on le

v uy™iï\*Tû ^ e tem P s <l ue ^ a surface EF emploieroit à parvenir dans le dânskca/pr"' vase BL, au même niveau que dans le vase BG, se trouve , weure de Z en faisant x = o , dans l'équation précédente ; ce qui donne

veau dan, le , S s/* deux vase*. t == — .

PropritMc' qui Touille du caj qu'on vii ni d'à- qUC

mIjmb, remplissoit à une hauteur A au-dessus de cet orifice (734); va- leur qui , comme on a vu article cité , est double de celle du temps que le vase BL, entretenu constamment plein à la hau- teur A, au-dessus de l'orifice a>, cmploieroit à dépenser une quantité d'eau égale à AS, ou au volume d'eau qui seroit con- tenu dans ce vase.

ca» o-. un r a . nfi. Si le vase composé étoit l'assemblage d'un plus grand

•e, entretenu ' , , l I 1 fl 1 1

c-nsi-mment nombre de vases simples, comme on le voit par le profil de la &""^JVuT* fig ure i55, la hauteur BO étant supposée constante, et repré- •uiie dautre. sentant, par des indéterminées x t r, z. et A les hauteurs BC« 

ytse\ commu- ' 1 . ' J » ' . . 7

niquam entre DE, FK , LO , etc. : on aura toujours, pour assumer les valeurs

eux par de pe- i ■ « • ' r ° , 1> i

iiuôii£ce*. de ces hauteurs a un instant quelconque, un nombre d équa- tions égal au nombre des indéterminées. En effet, les vitesses en 0,0',0", O", etc.,sont(74o), \Zi<px f }/ 2 <py, \/wpz f y/2 <p?i } etc.; on obtiendra donc les variations instantanées de hauteur des surfaces CD, EF, KL, etc., en divisant par chacune de ces sur» faces la différence de dépense instantanée des deux orifices du vase simple auquel elle appartient ; ce qui donnera un nombre d'équations égal h. celui des indéterminées moins un ; ensuite on a l'équation BC -+- DE -+- FK -+- LO"-f- etc. = BO. c*rtt nation Nous observerons en passant, que, dans les premiers

m&m instants instants où l'eau afflue, soit dans le vase DO (fig- i53et i54), 5a„lT«S: soit dans les vases DO, FO', LO", etc. {fig. 15.5), elle doit y avoir un ébranlement qu'on n'a point fait entrer en considéra-

i 1.1». ' ' 1 a • • 1*

tion dans la théorie précédente. Ainsi, pour appliquer avec sécurité les équations trouvées ci-dessus, il faut déterminer les limites des intégrales, en supposant que, lorsque t = o, il y a déjà une certaine quantité d'eau fournie par le vase BG. Ces objets d'expérience seront discutés plus en détail quand d en

f,ùleshautrur S sera tClUpS.

de I eau d évita* i ^

■•"« 'o™»"- 745. On conçoit aisément qu'après un certain temps d ecou- itrcnu lement, 1 eau doit se mettre dans les vases DO, rU , LU , etc.

Examen du cas

cii leshautrurs