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Page:De Rives - Le Chevalier Falardeau, 1862.djvu/37

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LE CHEVALIER

et Calendi lui donnèrent des leçons gratis.


Pendant plusieurs années, notre pauvre exilé ne vécut que de privations.

À part quelques rares éclairs apparus de loin en loin, ses jours s’écoulaient sans soleil.

Le beau ciel d’Italie avait peu de sourires pour lui.

C’était toujours la terre étrangère.

Sur les bords enchanteurs de l’Arno, au milieu des splendeurs du jardin Boboli, des magnifiques promenades du Cascine, l’isolement