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Page:De Rives - Le Chevalier Falardeau, 1862.djvu/39

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LE CHEVALIER

Il lui menait parfois de furieux sabbats. Mais c’était un cœur d’or, d’une intelligence hors ligne, et d’une verve intarissable.

En peu de jours, il lui eut remonté le moral.

Il le présenta aussi à M. Charles Lefèvre, peintre paysagiste de Paris, qui devint son maître, et qu’il compte aujourd’hui parmi ses amis.


L’année suivante, pendant qu’il travaillait, dans la Galerie des Uffizzi, il sentit tout à coup une main lui frapper sur l’épaule. Il se retourne et se jette au cou de