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Page:De Rives - Le Chevalier Falardeau, 1862.djvu/41

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LE CHEVALIER.

dit aux bains de Lucques, dans l’espoir d’obtenir quelques commandes.

Les Italiens n’ont pas désappris à voler.

Ils l’allégèrent de tous ses pinceaux, et de ses peintures.

Ce fut tout le succès de son voyage.


À Livourne, il vide sa bourse pour louer une chambre et exposer ses tableaux.

En attendant les amateurs, il peint gratis le portrait d’un capitaine anglais à condition qu’il l’expose dans le bureau des armateurs, à Livourne.