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FALARDEAU.

de la Madone de Sasso Ferrato,[1] il vit venir vers lui notre éminent artiste, M. Bourassa.

Ceux qui ont vécu sur la terre d’exil comprendront seuls le bonheur qu’il y a de presser sur son cœur un compatriote, loin du sol de la patrie.

La visite de M. Bourassa lui rendit la santé.


Bien des vents contraires ont assailli la nacelle de notre héros

  1. Cette Madone lui a porté bonheur ; ce fut aussi le premier tableau qu’il voulut copier à son arrivée à Florence. Une copie de cette Madone a été achetée par M. Louis Falardeau, parent du Chevalier.