et affligeante. Ah ! puissent les cœurs généreux de Belgique et de Hollande continuer à s’émouvoir de compassion pour tant de milliers d’âmes rachetées par le sang de Jésus-Christ, et qui se trouvent privées des consolations de la religion ! Puissent-elles ne cesser jamais d’envoyer de nouvelles phalanges de jeunes missionnaires, remplis de zèle et de ferveur ! La moisson qui leur est préparée est immense ; les vastes champs du père de famille n’attendent que les bras vigoureux des moissonneurs. Nul pays au monde n’offre un plus grand avenir. Quel bonheur, s’il parvient à reconnaître et à accepter la véritable Église, qui seule peut rendre l’homme heureux ici-bas et lui procurer une éternité de délices pour lesquelles il a été créé et racheté !
Le temps presse, je dois finir. Veuillez me rappeler aux bons souvenirs de nos amis ; continuez de prier pour moi et acceptez, je vous prie, mes hommages de respect et de gratitude.
Agréez etc.