Page:De Smet - Lettres choisies,1875.djvu/407

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trouvent aujourd’hui, à la veille de faire un traité de vie ou de mort avec le gouvernement des États-Unis, ils ont, dans le colonel Murphy, l’agent du gouvernement, un avocat, un protecteur et le meilleur des pères. C’est ce qui me fait espérer, que le bon Dieu a des desseins particuliers de miséricorde sur eux et qu’il ne veut pas les abandonner. Au moment du danger, vous ne les oublierez pas, j’en suis sûr, dans vos bonnes prières.

. . . . . . . . . .

« Veuillez me rappeler aux bons souvenirs de M.  et de Mme  Bayer, et me croire avec le plus profond respect et une parfaite estime, etc… »

Voilà les principaux extraits de ma lettre à Mme  Parmentier. Je serais heureux d’apprendre qu’ils vous ont intéressé.

Agréez, etc.

P. J. De Smet, S. J.